Parce que des fois, vous voulez juste savoir si c'est bon ou pas...
Ce site vous offre des critiques de films "à la Twitter", c'est à dire en 140 caractères maximum. Elles sont donc simples, efficaces et droites au but. De nouvelles critiques sont ajoutées chaque jour. N'hésitez pas à commenter et suivez les mises à jours sur Twitter. Nous avons aussi une page Facebook.
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"God damn it, Gump! You're a god damn genius! This is the most outstanding answer I have ever heard. You must have a goddamn I.Q. of 160. You are goddamn gifted, Private Gump." -Drill Sergeant (Afemo Omilami)
Malgré ses quelques défauts, c’est un de ces rares films à la fois sérieux et humoristique qui nous fait vivre toute la gamme des émotions.
"Don't let yourself get attached to anything you are not willing to walk out on in 30 seconds flat if you feel the heat around the corner." -Neil McCauley (Robert De Niro)
Une réussite. Évidement, l’impressionnante brochette d’acteurs y est pour quelque chose, mais aussi le scénario et la réalisation, superbes.
"So, what we'll be calling on is good ol’ fashion blunt force trauma. Horsepower. Heavy-duty, cast-iron, piledriving punches that will have to hurt so much they'll rattle his ancestors." -Duke (Tony Burton)
Un film surprenant, malgré une formule usée, qui arrive à nous faire vivre d’intenses émotions. Une finale satisfaisante à la fameuse série.
Après plus d'un mois de convalescence, je me sens assez bien pour reprendre mes mini-critiques. Merci pour les pensées positives, elles m'ont beaucoup aidées à passer à travers cette épreuve difficile.
Cette semaine, pour me faire plaisir, je vous offre les critiques des films de Rocky, en commençant bien sur par le gagnant de l'Oscar du meilleur film en 1976... Bonne lecture!
Ayez une petite pensée pour moi dans les prochains jours car je vais subir une importante intervention chirurgicale. Vous comprendrez que je serais évidement dans l'impossibilité de mettre le site à jour la semaine prochaine et peut-être même un peu plus longtemps.
Alors désolé du contretemps, mais soyez assurés que ma convalescence sera passée allongé devant la télévision et que je vous critiquerai tout cela le plus rapidement possible!
"Oh, non, je ne suis pas drôle... Je suis terriblement angoissé et comme tous les gens qui font de l'humour, et bien j'essaye de combler le vide, l'angoisse de la mort" -Roland Verneuil (Fabrice Luchini)
C’est la vie toute simple que Klapisch nous présente en petites vignettes d’une beauté dépouillée qui parlent de tout et finalement de rien…
"Keaton always said, "I don't believe in God, but I'm afraid of him." Well I believe in God, and the only thing that scares me is Keyser Soze." -Verbal (Kevin Spacey)
Un mystère bien ficelé à la conclusion excitante et surprenante. Les acteurs crèvent tous l’écran et la réalisation de Singer est efficace.
"Behold! The Sword of Power! Excalibur! Forged when the world was young, and bird and beast and flower were one with man, and death was but a dream!" -Merlin (Nicol Williamson)
Romantique & poétique mais aussi brutalement réaliste, cette adaptation de la légende d’Arthur est visuellement & émotionnellement parfaite.
"There's more to fighting than rest, sir. There's character, there's strength of heart. You should have seen us in action two days ago. We were a sight to see! We'll be ready, sir." -Robert G. Shaw (Matthew Broderick)
Les performances des acteurs, l’histoire, les images et la musique font de ce film un des meilleurs films de guerre de l’histoire du cinéma.
Une vraie grippe d'Homme s'est emparée de notre critique et c'est la raison pour laquelle nous n'avons pas offert de nouvelles critiques cette semaine... Évidement, mous le remettrons à la tâche la seconde qu'il ira mieux!
Ça aura pris 4 jours m'en remettre, finalement... Mais me voilà de retour.
"AK-47. The very best there is. When you absolutely, positively got to kill every motherfucker in the room, accept no substitutes." -Ordell Robbie (Samuel L. Jackson)
Jackie Brown est une déception, c’est vrai, mais c’est loin d’être un mauvais film. La touche Tarantino est tout simplement moins présente.
En l'honneur de Inglourious Basterds que notre critique va voir aujourd'hui au cinéma, nous allons vous présenter, tout au long de la journée, des critiques de l'oeuvre de Quentin Tarantino.
"T'as pas une gueule de porte-bonheur..." -est la phrase finale du film Predator (1987) en français. La phrase originale est "You're one ugly motherfucker..." dont la traduction plus juste serait: "T'es laid comme un enculé de ta mère".
Elles dénaturent les films et nous privent du jeu des comédiens ainsi que des directions du réalisateur. Les sous-titres, il n’y a que ça...
"Can I give you guys a word of advice? Lose the beards, because your King Osama looks like a kind of dirty wizard... or a homeless Santa." -Brüno (Sacha Baron Cohen)
Il y a quelques moments absolument tordants, mais ce n’est pas aussi intéressant que Borat: l’originalité a disparue & le rythme est inégal.
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